Dans le monde actuel, une grande partie de la population est atteinte par la malnutrition. Malgré tous les efforts déployés par las Nations Unis pour instaurer la sécurité alimentaire, éliminer la faim reste toujours un objectif non atteint. Dans les pays pauvres, l’agriculture constitue une partie non-négligeable des emplois. Ne pourrait-elle pas constituer un moyen de lutte contre l’insécurité alimentaire ?
L’agriculture et les objectifs du millénaire
Il existe des objectifs de développement instauré pour le millénaire. Ils consistent à lutter contre toute forme de sous-développement dans le monde et particulièrement dans les pays pauvres. Parmi ces objectifs, il y a la sécurité alimentaire. Vers la fin des années 2000, la banque mondiale a sorti un rapport sur le développement par le biais de la production agricole. L’agriculture se hisse donc au centre des préoccupations puisqu’il constitue le principal acteur dans l’alimentation. Des pays sous-développés sont d’autant plus concernés puisque l’agriculture constitue une activité qualifiée comme principale pour les populations. Dans les pays indigents, elle constitue même une activité de survie.
Dans les pays les plus pauvres, ceux d’Afrique sub-saharienne plus particulièrement, la faim est plus que présente. Les enfants atteints de dénutrition sont nombreux et cela entraîne un retard de croissance important, consulter le site. Mais la sécurité alimentaire consiste en une bonne alimentation qualitativement et quantitativement. Il ne concerne donc pas uniquement la dénutrition, mais également l’obésité et l’excès pondéral retrouvé dans les pays industrialisés. Dans ces pays, une grande partie des individus se nourrissent de produits transformés dû au manque de temps à cause des activités du quotidien beaucoup trop prenantes.
La sécurité alimentaire grâce à l’agriculture
À cause de nombreux facteurs mondiaux, assurer la sécurité alimentaire est difficile. Ces facteurs peuvent être environnementaux comme démographique. En effet, la population se tourne de plus en plus vers la vie urbaine et fuit la campagne. L’agriculture se jette donc au second plan. Pourtant, une agriculture intensive peut constituer un pas-de-géant vers une élimination de la fin. La dégradation environnementale entraîne également un réchauffement climatique. L’agriculture devient donc difficile.
La sécurité alimentaire est également fonction du fait que les produits agricoles sont sains. Cela explique l’essor de l’agriculture biologique. L’ingestion de produits biologiquement sains apporte une valeur ajoutée dans l’alimentation. La carence en micronutriments est donc moins présente par la consommation de ces produits. De plus, ils assurent la développement non seulement alimentaire, mais également économique. Sans organisme génétiquement modifié, la production n’est pas aussi importante qu’elle l’est avec. La production nécessite donc un plus grand nombre d’agriculteurs et cela fait baisser le taux de chômage.
Le développement économique par le biais de l’agriculture
Dans les pays sous-développés, l’agriculture est uniquement vivrière. Malgré le fait que cette activité est une des plus pratiquées, la population n’a jamais pensé à en faire une voie vers le développement économique. Les exploitants dans ces pays ont une surface d’exploitation de petite surface. Ils se situent plus en Asie, mais ils se retrouvent également en Afrique sub-saharienne. L’instauration de l’agriculture durable dans ces pays va donc non seulement lutter contre la faim, mais également permettre un développement sur le plan économique.
Puisque certains vivent de cette activité agroalimentaire, une consommation locale peut accroître l’économie d’un pays tout en assurant la sécurité alimentaire. En faisant de l’agriculture une activité d’accroissement économique, la production sera plus importante et dans ce cas l’alimentation ne manquera point. Une alimentation équilibrée pourra être offerte à la population. Les carences nutritionnelles seront abolies et les retards de croissances diminueront activement. Les pays en vois de développement doivent donc se concentrer sur cette activité pour qu’en 2030 l’objectif de lutte contre l’insécurité alimentaire soit atteint.